Maud Et Georges : Un Week-End À Deauville…Épisode 3/3 :

Lorsque Georges se leva le lendemain à 8 heures du matin, le soleil était déjà levé depuis un bon moment et ses rayons éclairait le salon. Météo France annonçait un temps magnifique pour ce long week-end, aucun nuage dans le ciel, idéal pour un petit séjour à la mer. Pendant que Maud épuisée par leur longue nuit d'amour était toujours endormie, il alla sur le balcon prendre son café. L'air frais du matin après cette nuit torride qui l'avait exténué, lui faisait un bien fou. Sa jeune amante avait su le mettre en émoi et réveillé ses désirs charnels quelques minutes après une grosse jouissance.

Il n’avait pas voulu le faire paraître à sa jeune maîtresse, mais cela lui mettait du baume au cœur, à soixante-cinq ans, il fut étonné d’être encore capable de satisfaire cette jeunette. Il se remémorait la scène, aucune femme ne lui avait fait connaitre une telle excitation comme celle qu’il connut la veille. Après un long câlin, elle s’était penchée sur lui, tout en lui déposant régulièrement des petites bises sur toutes les parties génitales et son ventre. Une main caressait ses bourses et de l’autre, elle avait pris son pénis qui semblait vouloir reprendre du service. Délicatement elle commença à monter et descendre sa main douce, tout en décalottant son gland rosé. Lentement, très lentement, elle le masturba jusqu’à ce qu’il reprenne forme.

Maud appréciait la taille de sa verge, elle n’était ni trop grande, ni trop épaisse, elle caressait le gland ressemblant à une fraise, passant le bout de son index sur la goutte qui suintait du méat, elle persévérait en étalant ce liquide pré séminal sur l’ensemble de ce fruit rouge, jusqu’à la couronne. Georges s’arc-boutait, la regardant faire, ces caresses et ses petits baisers magiques lui faisait remonter son désir au plus haut point. Elle stoppa quelques instants, avant qu’il n’éjacule, elle désirait surtout lui faire ce plaisir mais qu’il puisse une nouvelle fois lui faire prendre du plaisir.

Il reprit ses esprits, elle le regarda, lui sourit et se pencha sur son entrejambe, elle prit du bout des lèvres le gland de son phallus et l’enfonça progressivement, très lentement dans sa bouche. Puis se retirait avant de renouveler cette longue glissade tout en utilisant sa langue. Son amant avait peine à y croire, il ne s’était pas trompé, cette jeune femme était née pour le rencontrer, c’était une reine en la matière. Elle contracta ses joues en aspirant le bout de sa fraise, Georges avait retrouvé toute la longueur et toute la dureté de sa verge, glissant entre les lèvres de sa maitresse près à jouir en quelques minutes :
— C’est trop bon ma puce, tu es merveilleuse.

C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui en bon séducteur, il aspirait à la rendre heureuse, la couvrir de cadeau comme il le faisait souvent avec certaines de ses maitresses. En homme galant il aimait se montrer à la hauteur de leurs attentes, aussi bien dans un lit qu’en dehors. Soudain les cloches de la cathédrale sonnant neuf heures, le sortirent de ses pensées érotiques. Il alla à la cuisine préparer le petit déjeuner, il sortit un plateau en argent, y déposa les deux tasses, le café, du jus d’orange, quelques toasts grillés et ajouta une rose qu'il prit dans un vase sur la table basse du salon.

Il s’était empressé d'aller servir ce petit déjeuner à sa belle, il posa le plateau sur le bord du lit et lui donna un baiser sur sa joue pour réveiller la belle endormie
— Ma puce ! Il est neuf heures quinze, tu n’as pas oublié que nous partons ce week-end, au bord de la mer
— Non, mon chéri ! J'ai si bien dormi, en rêvant à en toi.
— Regarde ma puce ! Nous avons besoin de reprendre des forces après cette nuit mouvementée.
— Merci pour cette jolie rose mon amour !
— Rien n’est assez beau pour ma reine de cœur ! dit-il tellement il était heureux

Pendant qu’il se préparait dans la salle de bain, Elle se dirigea sur le balcon de la salle à manger pour fumer sa cigarette en demandant comment allait-elle s'habiller n'étant pas rentrée chez elle ? En effet, Maud n'aimait pas mettre les vêtements de la veille et surtout ses sous-vêtements souillés :
— Tu ne devrais pas fumer ma puce, ce n’est pas bon pour toi. Tu peux disposer de la salle de bain.

Georges était pimpant dans sa tenue décontractée, il avait mis un pantalon blanc, une chemise noire ouverte et avait aux pieds une paire de chaussure élégante à lacets, aspect daim.
— Regarde-toi comme tu es beau ! Je n'aime pas remettre mes dessous de la veille, il faudrait que je passe à la maison.
— Ne t'inquiète pas ma puce ! J’adore ta petite robe et ne mets rien dessous. Lui répondit-il d'un air amusé.

Lorsqu’il s’aperçut que Maud était gênée, il la rassura en lui disant qu’il lui achèterait ce qu’il lui faut dans une boutique sur place : « Ils ont un très choix de lingerie chic et coquine et de jolies robes. Tu choisiras ce que tu veux ma reine de cœur. » Elle s'esclaffa et rit en répondant : « C'est la première fois que je ne mets pas de dessous ! » Elle prit son sac à main qu'elle avait posé sur un fauteuil dans le salon et en se baissant, Georges vit le haut de ses cuisses et la naissance de ses fesses :
— Oh ! Tu m'excites ma belle. Partons avant que je nous mette en retard. J’ai très envie de toi ma reine.

Arrivé dans le parking souterrain de l’immeuble, Georges fit monter Maud dans sa jolie berline allemande noire trois portes mais s’aperçut qu’il avait oublié dans la précipitation, son portable posé sur la table de chevet de sa chambre : « Attends-moi deux minutes ! J’ai oublié de fermer à clé la porte de mon appartement. » Lui dit-il d'un air quelque peu troublé. Dans le couloir, il rencontra sa femme de ménage qui sortait de chez lui tenant dans la main son téléphone : « Merci Solange, vous êtes un ange. »
— Dites-moi Monsieur Georges, c’est votre petite fille qui a dormi chez-vous cette nuit ?
— Non c’est ma nièce qui s’est couché dans la chambre d’ami.

Avant de ressortir, il alluma son téléphone et composa le numéro d’un de ses contacts, après quelques minutes de conversation, il éteint son portable et se précipita sur le parking où l’attendait toujours Maud, son smartphone à la main :
— Qui appelles-tu ma puce ?
— Mon amie d’hier soir. Je l’ai prévenue que je partais pour quelques jours.
— Attache-toi bien ! je ne voudrais pas te perdre en route. Lui dit-il.

Ce qui amusa la jeune femme, elle trouvait Georges très surprenant, il était d’un sérieux et conventionnel mais savait avoir de l’humour. Il fallait s'attendre à tout avec lui : « Que va-t-il me réserver comme surprise ? » Se demandait-elle. Pendant les deux heures et demi de trajet, ils étaient à présent seul au monde, il n'avait qu'à s'offrir aux plaisirs charnels. Profitant de la boite automatique et du manque de sous-vêtement, Georges la main droite posée sous la robe de sa reine de cœur lui offrit une nouvelle fois beaucoup de bonheur. Elle lisait dans ses yeux une attente similaire Elle ne regrettait pas son choix et son abandon total à son amant. Dans cette parade amoureuse, elle avait goûté aux joies de l’amour avec un homme mûr, elle avait fondu sous son charme, elle était prête à donner et à recevoir, tout son corps la démangeait, brûlait de l’intérieur. Elle était au firmament de la débauche des sens par ce bonheur qu'il savait lui offrir sans relâche.

Arrivés à Deauville le centre-ville était bondé de monde, une foule grouillant à travers les avenues revivait après le confinement, on avait l’impression que tout Paris s’était donné rendez-vous ici. Les badauds se précipitant vers les magasins spécialement ouverts pour ce week-end :
— Georges ! il faut que je renfile mon string, je ne peux pas y aller ainsi, je ne suis pas à l’aise.

Devant la moue de Maud qui avait perdu le sourire, il comprit que cette situation l'incommodait. Il se dirigea vers le magasin de lingerie où il avait pris l’habitude d’amener ses maitresses et se gara devant la boutique. Ce temple de plaisirs pour femmes, où elles aimaient passer du temps afin de choisir des dessous chics et très sexy pour affoler leur amant :
— Oui, Bien sûr ma puce ! Tu me plais, tu es magnifique. Prends tout ce que tu as besoin, ne regarde pas à la dépense. Lui dit-il, trop heureux de vouloir la combler.

En entrant dans la boutique, la patronne en le reconnaissant, vint spécialement s’occuper d’eux immédiatement : « Bonjour Monsieur Georges, vous nous amenez votre fille aujourd’hui ? » sans répondre à sa question, il dit simplement : Bonjour Madame ! Je vous la laisse entre vos mains. Je pense qu’elle sait ce qu’elle veut. » Se sentant mal à l’aise, il était allé prendre un café sur la terrasse du café d’en face patientant sagement que sa reine de cœur dévalise le magasin. Il était l'heure du déjeuner, lorsqu’elle sortit de la boutique avec trois sacs.

Les nombreux restaurants affichaient leurs menus, il avait choisi de l’emmener dans une brasserie simple où les clients se retrouvaient souvent en famille ou entre amis. Mais dont le cadre était chaleureux à la jolie déco vintage, dans les canapés confortables et les fauteuils molletonnés autour des belles tables anciennes en bois. Ce petit « Bistrot » proposait une cuisine traditionnelle du marché qu’ils avaient bien appréciés. Pris de désir Georges avait insisté pour savoir ce qu’elle avait acheté mais Maud lui réservait la surprise en disant qu’il ne pourrait les voir que lorsqu’elle les porterait dans leur chambre d’hôtel.

Ils avaient tout de même pris leur temps pour déguster la cuisine du chef tout en s’embrassant, se tenant par la main ou en se câlinant. Georges était très impatient de refaire l’amour à sa reine, l’excitation du voyage et les attouchements pendant le repas l’avait mis dans tous ses états. Lorsqu’ils s’étaient présentés devant le réceptionniste du Grand Hôtel de la plage, pour récupérer son pass :
— Je suis désolé Monsieur Georges, je vous avais réservé une chambre à un seul lit, je ne pensais pas que vous viendriez avec votre fille et nous sommes complet.

Georges fut mal à l’aise, il venait une nouvelle fois de comprendre qu’il n’était pas à sa place avec cette jeune fille. Le voyant troublé, Maud vint à son secours en s’empressant de dire au réceptionniste : « On s’en contentera tant pis. » En attrapant la carte clé.
Elle lui prit la main et ils traversèrent l’immense hall et prirent l’ascenseur :
— Viens mon chéri ! Je suis pressée de te montrer mes dessous, ça va te plaire.

Il lui sourit d'un air malicieux, lui déposa une bise sur ses lèvres douces, sans rouge à lèvre. Lui aussi avait hâte de l'admirer dans un déshabillé coquin. Qu'elle surprise lui avait-elle lui réservée ? Arrivés au cinquième étage, après avoir ouvert la porte, elle fut étonnée, la chambre était très grande et décorée avec goût, rien à voir avec ce qu’elle avait déjà connu, il y avait même un joli bouquet de roses sur la table basse. Elle commença à lui montrer la belle petite jupe à volant et le petit corsage tout à fait charmant. Puis elle lui fit découvrir une très jolie robe de soirée super sexy, en la sortant du deuxième sac. Avant qu’elle ne déballe ce qui avait dans le troisième sachet, il lui dit d’un ton tout aguiché :
— Va passer tes sous-vêtements pour que je t'admire, te cajole.

Lorsque Maud s’était présentée dans un ensemble très sexy, soutien-gorge en dentelle noire pratiquement transparent, petit string assorti de la même matière et de jambières noires, il fut très réceptif, assis dans le fauteuil, il la regardait avec insistance. Il était estomaqué ! Elle portait ses talons aiguille, les jambières épousaient parfaitement ses jambes, le string cachait à peine son sexe, le soutien laissé apparaitre des seins fermes. Maud avec un regard obscène jouait à poser tel une actrice dans un film érotique. Ce n’était pas seulement un défilé privé mais un réel show pour le mettre dans tous ses états. Elle fut fière de le voir ainsi devant elle.

Légèrement maquillée, elle était sublime, elle le regardait avec son habituel sourire. Elle se rapprocha de lui puis se tourna pour lui révéler ses fesses fermes entre lesquelles se perdait le petit fil du string. Maud écarta légèrement et volontairement ses jambes pour qu’il se fasse une idée de ce qu’il y avait sous ce string. Elle se retourna vers lui et lui tendit la main pour qu’il se lève puis se mit dos contre lui, face au miroir de la penderie. Il la sentait se serrer un peu plus, ses fesses frôlaient volontairement sur son sexe sans exercer de pression.
— Cette tenue sexy vous convient-elle Monsieur Georges ? demanda-t-elle d’une voix sensuelle.
— Vous êtes une petite coquine. Répondit-il d’un air ahuri.
— Vous pouvez toucher si vous le souhaitez, vous savez ? Lança-t-elle d’un ton joueur en écrasant encore un peu plus ses fesses.

Cette situation l'excitait, il exerça une forte pression entre ses deux lobes nus afin de lui démontrer toute l’envie qu’il avait de la posséder. Ses doigts se glissèrent sous l'étoffe et longèrent sa fente humide pour atteindre enfin son sexe brûlant et gonflé. Cette caresse la mettait dans un état second tant ses doigts experts étaient agiles à cajoler ses lèvres et son clitoris. Puis ils s'insinuèrent en douceur dans son intimité et commencèrent une danse, frénétique. Maud déboutonna sa chemise, elle aimait son torse velu, musclé et viril, si chaud et tentateur puis libéra son sexe à l’étroit dans son pantalon.

Après de longues minutes de préliminaires, ils étaient tous les deux en transe, habités par un désir ardent et incendiaire qui les dévorait de l’intérieur. Il était temps pour eux de s’unir, il lui demanda de s'asseoir sur sur ses genoux, face à lui pour une chevauchée fantastique. Elle resserrait son pénis en elle avec avidité, tout en ondulant sur lui avec frénésie. Il dévorait ses seins pendant qu'il la pénétrait et la couvrait de baisers en gémissant de plaisir, comme un animal enragé et furieux de désir. Maud atteint son orgasme qui la propulsa aux plus hautes cimes du plaisir où il la rejoint dans un concert de cris et de râles. Le week-end commençait bien…

Deauville vivant toute l'année au rythme du cheval, ils avaient assisté à une course hippique et avaient fait une randonnée en montant deux superbes étalons. Georges lui fit connaitre les bienfaits des soins à base d’eau de mer et les vertus des algues et boues marines, propice à l'évasion du corps et de l’esprit. Ils firent une cure de plats de fruits de mers, poisson et produits locaux dans les bons petits restaurant de la région. Dès que le soleil se couchait, Deauville s’illuminait et la vie continuait au casino où Maud connut les frissons dans les grisantes salles de jeux ou autour des machines à sous dans le cadre somptueux du Casino Barrière.

Pendant ces trois jours, Maud s'abandonna sans pudeur à son amant, comme par magie leurs ébats prirent une tournure vraiment passionnée. Leurs corps n’avait fait qu'un à l'unisson. Ce fut sans résistance qu'elle s’était laissée aller aux exigences de son amant. Elle venait de découvrir avec Georges ce qu’un homme mûr pouvait apporter à une jeune femme inexpérimentée. Pendant tout ce week-end, elle fut transportée dans un autre monde, elle avait envie de lui à chaque heure du jour et de la nuit, dès qu’il l’effleurait ou lui faisait un bisou dans le cou ou lorsque sa main passait sur ses seins sensibles ou qu’elle sentait son souffle chaud dans sa nuque, elle sentait le désir monter en elle et se donnait à lui.

Pourtant, il fallait rentrer et retrouver sa vie d’avant, lorsqu’elle avait rallumé son portable, elle avait plus vingt-cinq appels en absence et trente SMS de son petit copain avec lequel elle s’était fâchée. Devant son auto, au moment de repartir chez elle, Maud était gênée, elle ne savait pas comment l’expliquer à Georges. Qui lui de son côté, se posait des questions, il savait très bien qu’il ne pouvait pas continuer avec elle, il reprendrait comme avant une maitresse et il fallait le lui dire :
— Maud m'a chérie ! Vois-tu à mon âge, je ne peux…
— Georges ! Chut…. J’ai vécu un rêve merveilleux avec toi que je n’oublierai jamais. Veux-tu au moins que je devienne ta nièce ?

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Je compte sur vous pour laisser vos commentaires. Je vous en remercie par avance.